LAICITE ET LIBERTE D’EXPRESSION
Voici une réaction depuis le Sénégal, qui va certainement entraîner des réactions. On n’est pas obligé d’être d’accord, mais il est important d’écouter le point de vue des autres :
Personne n’a le droit de tuer un autre, surtout pas au nom de Dieu. Les musulmans l’affirment eux-mêmes : Mohammed Moussaoui, Président du Conseil français du culte musulman (CFCM) : « Les terroristes incarnent la trahison de tout ce qui est sacré dans l’islam »
Le meurtre en France du professeur Samuel Paty est horrible et inadmissible. Il nous faut à tout prix lutter de toutes nos forces contre de telles choses. Mais pas par n’importe quels moyens. Sinon le remède risque d’être pire que le mal. Si on veut vivre en paix, il ne faut pas faire de provocation inutile. Et il faut aussi apprendre à respecter les opinions des autres, et surtout leurs croyances.
RWANDA : 28 M€ pour la restauration des forêts dégradées d’Amayaga
Le gouvernement du Rwanda vient de prendre de nouveaux engagements pour lutter contre le changement climatique. C’est ainsi qu’il a lancé le 23 octobre 2020 le projet de restauration des forêts dégradées de la région d’Amayaga, dans la province du Sud. Baptisée « Green Amayaga », l’initiative de près de 28 millions d’euros (31,9 milliards de francs rwandais) vise entre autres la plantation de milliers d’arbres au cours des six prochaines années.
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SAHEL : l’ONU mobilise 1,7 Md $ pour des besoins tels que l’eau potable
Sous l’impulsion de l’Organisation des Nations unies (ONU), une vingtaine de gouvernements et de bailleurs de fonds vont débloquer plus de 1,7 milliard de dollars pour le Sahel central. Les fonds sont destinés à divers secteurs, notamment l’eau potable et l’assainissement. Avec 86 millions d’habitants et une croissance démographique estimée à 2,8 %, la région est confrontée à un triple défi : le changement climatique, les conflits et la pandémie de la Covid-19.
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Accès universel à l’Eau, à l’assainissement et à l’hygiène : Les ministres Africains des Finances tablent sur la question
C’est dans le cadre d’une rencontre qui va se tenir le 4 Novembre prochain à Dakar et au cours de laquelle les participants venus de l’Egypte, de la Mauritanie, du Zimbabwe, du Lesotho, du Nigéria et de bien d’autres pays, vont réfléchir sur les mesures qu’il convient de prendre afin de garantir le développement économique, l’atténuation des changements climatiques et la prévention des maladies dans ce continent.
Ils vont en outre s’atteler à : - Souligner le rôle crucial de l’EAH pour l’économie, la population et l’environnement africains pendant et après l’épidémie de COVID-19 - Examiner les différentes mesures envisageables - Convenir des actions à mener pour garantir le déploiement des investissements nécessaires à une exploitation optimale du potentiel économique du secteur…
Migrations : 400 538 Sénégalais ont quitté le pays en 2019
L’Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) a publié un bulletin semestriel sur les statistiques de la migration et de la mobilité internationale. Ce travail a été fait en collaboration avec la Direction de la Police de l’Air et des Frontières (DPAF), la Direction de la Police des Etrangers et des Titres de Voyage (DPETV) et l’Organisation internationale pour les Migrations (OIM).
Ce présent bulletin présente les statistiques sur les flux d’entrées et de sorties des personnes au Sénégal et les profils des migrants de retour au Sénégal assistés par l’OIM au cours du premier semestre de l’année 2019. Dans l’ensemble, il y a eu plus d’entrées que de sorties du territoire national avec un solde global de 117 875. Les entrées et les sorties sont plus importantes au niveau de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) avec 561 353 entrées et 542 281 sorties, soit un solde positif de 18 872.
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Hygiène et l’assainissement : les parlementaires africains au chevet des populations.
Boire des eaux polluées, marcher dans des eaux stagnantes de pluies et de matières fécales et dormir dans l’insalubrité, tels sont les maux auxquels sont confrontées annuellement les populations africaines à saisons des pluies. Pourtant nous avons tous droit à l’eau potable, à l’hygiène et à l’assainissement.
Signalons en effet le rôle essentiel que jouent les parlements nationaux du fait de leurs fonctions législatives, budgétaires et du contrôle qu’ils exercent dans la mise en œuvre des projets, programmes et des politiques publiques des gouvernements.
« Ces parlements nationaux sont conscients que la réalisation de l’objectif 6 du développement durable consistant à « garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et assurer une gestion durable des ressources en eau » ne peut se faire sans leur implication », relève un communiqué officiel transmis à la presse.
AFRIQUE : le bureau régional du GCA est ouvert pour l’adaptation au changement climatique
Le bureau régional Afrique du Centre mondial pour l’adaptation (GCA) vient d’être ouvert. Le centre est hébergé au siège de la Banque africaine de développement (BAD) à Abidjan en Côte d’Ivoire. L’institution coprésidée par l’ancien secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a pour mission d’accélérer les mesures d’adaptation au changement climatique.
Principale victime du changement climatique, l’Afrique est désormais au cœur de la politique du Centre mondial pour l’adaptation (GCA). Il vient d’ouvrir un bureau régional à l’issue d’une visioconférence qui a réuni plusieurs chefs d’État africains ; ainsi que des responsables d’institutions financières.
RAPPORT DE LA CÉRÉMONIE OFFICIELLE DE LANCEMENT DE L’UNIVERSITE CITOYENNE POPULAIRE-PANAFRICAINE SAMIR AMIN
INTRODUCTION
La cérémonie officielle de lancement du projet de l’Université Citoyenne Populaire –Panafricaine SAMIR AMIN s’est tenue à la Salle d’Ateliers de l’Université Cheikh Anta Diop 2, le Jeudi 20 février 2020 de 9H à 14 h Sous la présidence effective de Mme Aminata Touré, Présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental ( CESE).
Dans un contexte où le monde est dans une phase de profonde mutation avec la modification des équilibres géostratégiques, l’apparition de nouveaux acteurs, l’approfondissement de la révolution technologique et ses conséquences sur les modes de production et de consommation ainsi que les défis de l’adaptation au changement climatique.
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ARTICLES SUR L’ACTUALITE INTERNATIONAL
Le Centre africain pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC Afrique) a annoncé lundi que 32 pays africains avaient jusqu'à présent signalé moins de 5.000 cas de COVID-19 alors que quelques pays enregistrent un pic majeur de nouveaux cas.
Notant que le nombre de cas confirmés de COVID-19 en Afrique a grimpé à 1.187.937 et que le nombre de morts de la pandémie est passé à 27.779 lundi, le CDC Afrique a déclaré dans un communiqué publié lundi que huit pays africains avaient signalé un nombre de cas positifs de COVID-19 allant de 5.000 à 10.000, tandis que onze autres pays avaient jusqu'à présent signalé un nombre de cas compris entre 10.001 et 50.000.
Le prix de l’eau va beaucoup augmenter
Entre sécheresse et inondations, l'eau est devenue un problème majeur. Aggravé par le changement climatique.
À une époque où le changement climatique et la pollution environnementale progressent, l’eau propre est devenue un bien rare. Seulement 3% de l'eau sur terre est de l'eau douce.
Si elle était répartie plus uniformément, il y en aurait assez pour tout le monde. Or, la réalité est différente. Les pénuries d'eau constituent depuis longtemps un problème majeur dans plusieurs régions du monde. Le dérèglement climatique et la croissance démographique vont probablement aggraver la situation. Par conséquent, rien d’étonnant à ce que le Forum Économique Mondial (FEM) ait défini en 2019 la pénurie d'eau et ses effets comme la plus grande menace de la décennie à venir.
Litige foncier au Sénégal:«Plus de 800.000 ha de nos terres feraient objet d’accaparement»,selon le président de Actionaide
Le Cadre de Réflexion et d’Action sur le Foncier au Sénégal (CRAFS) avec une trentaine d’organisations paysannes et de la société civile qui le composent, suivent avec intérêt le débat sur le foncier qui domine l’actualité depuis le mois de mai 2020, suite aux manifestations contre un projet immobilier situé au bas de la colline du phare des Mamelles. Et selon Zakaria Sambakhé, directeur de "Action aide Sénégal", venu prendre part à la séminaire du CRAFS : « si des études approfondies se faisaient sur les terres qui font objet de spéculation, le nombre d'hectares tournerait sur une superficie de plus de 800.000 ha ».