Résumé de l'actualité nationale

Commerce:Le déficit commercial en réduction de 24,3 milliards
https://www.lejecos.com/ Au mois de novembre 2017, le déficit des échanges extérieurs s’est réduit de 24,3 milliards pour ressortir à 153,5 milliards contre 177,8 milliards en octobre 2017.
Cette situation est favorisée par la baisse des importations (-29,8 milliards) plus importante que celle des exportations (-1,9 milliard), en variation mensuelle. Ainsi, le taux de couverture des importations par les exportations s’est établi à 36,7% en novembre 2017 contre 34,0% en octobre 2017, soit une hausse de 2,7 points de pourcentage sur la période.
De même, les exportations de biens sont évaluées à 110,1 milliards au mois de novembre 2017 contre 112,0 milliards un mois auparavant, soit un repli de 1,9 milliard (-1,7%).


Selon la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee), cette diminution traduit, essentiellement l’effet de la baisse de la valeur des exportations d’acide phosphorique (-4,0 milliards), de « préparation pour soupes, potages et bouillons » (-2,8 milliards), de titane (-1,9 milliard) et de produits alimentaires (- 1,7 milliard). Pathé TOURE
Commerce:Les exportations en baisse en novembre
https://www.lejecos.com Les exportations de biens sont évaluées à 110,1 milliards au mois de novembre 2017 contre 112,0 milliards un mois auparavant, soit un repli de 1,9 milliard (-1,7%).
Selon la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee),  cette diminution traduit, essentiellement l’effet de la baisse de la valeur des exportations d’acide phosphorique (-4,0 milliards), de « préparation pour soupes, potages et bouillons » (-2,8 milliards), de titane (-1,9 milliard) et de produits alimentaires (- 1,7 milliard).
Par ailleurs, les exportations de zircon et de ciment ont respectivement enregistré des légères baisses de 0,4 milliard et 0,9 milliard sur la période. La baisse des ventes à l’étranger de produits alimentaires est, essentiellement, imputable au recul des exportations de produits halieutiques (-3,2 milliards), atténué toutefois par le renforcement des ventes à l’étranger de produits arachidiers (+1,3 milliard) et, dans une moindre mesure, de celles des poissons frais (+0,2 milliard). Pathé TOURE
Pôle urbain de Diamniadio: La population désorientée, crie son ras-le-bol
https://www.leral.net Le projet du pôle urbain de Diamniadio n'a pas que des points positifs. La population locale est sortie dans la rue, "rouge" de colère, pour déplorer le problème d’accaparement des terres qui hypothèque leur devenir.
POLITIQUE D’INSERTION DES JEUNES :Les décideurs appelés à corriger les disparités
http://www.enqueteplus.com La 54e Assemblée générale Caritas s’est tenue à Thiès, les 13 et 14 janvier. Lors des deux jours de réflexion, il a été question de discuter du phénomène de l’entreprenariat des jeunes comme alternative, face aux défis socioéconomiques. Les décideurs sont appelés à corriger les disparités.
Les décideurs sont appelés à agir pour corriger les disparités dans la quête de travail chez les jeunes. C’est l’invite qui ressort de la 54e Assemblée générale Caritas qui s’est tenue à Thiès, les 13 et 14 janvier. Dans sa communication, François Joseph Cabral, membre du Conseil d’administration, a évoqué une question cruciale : ‘’Le modèle d’insertion des jeunes sur le marché du travail face aux risques encourus par les jeunes migrants sénégalais’’. Il a ainsi mis l’accent sur les axes et les limites des politiques d’emploi des jeunes, l’état du marché du travail au Sénégal, le marché du travail des jeunes et la migration internationale au Sénégal.
François Cabral invite les décideurs à agir pour corriger les disparités sur le plan spatial, dans l'allocation des ressources destinées au secteur de l'emploi des jeunes, par une meilleure répartition des projets et programmes au profit des foyers de pauvreté. A son avis, ‘’cette mesure est indispensable, si l'on veut mieux répondre aux besoins des jeunes dont la majorité est confrontée à une situation de précarité liée notamment à une absence de qualification’’.
Dans le même sillage, Son Excellence Monseigneur Jean-Pierre Bassène invite à plus de synergie entre tous les responsables, en vue de mobiliser les moyens nécessaires pour redonner espoir à notre jeunesse.
Recommandations
A l’issue de la 54e Assemblée générale de la Caritas, différentes recommandations ont été formulées. A cet effet, la Caritas veut capitaliser les expériences pertinentes d’insertion des jeunes fondées sur le partenariat entre collectivités locales, système de formation, organisations de la société civile, partenaires techniques et financiers et le secteur privé. Renforcer la cohérence entre les programmes et projets des Caritas diocésaines et le Plan stratégique de Caritas Sénégal. Entre autres, identifier et investir de nouvelles actions dans le domaine de l’hydraulique rurale engagée dans un processus de réforme qui confie au secteur privé l’exploitation et la maintenance des infrastructures assurant l’approvisionnement en eau potable des populations.
Ailleurs, la consolidation du réseau Caritas et de son système de gouvernance évoquée dans le rapport moral du secrétaire général de Caritas Sénégal, a introduit une réflexion de fond sur les exigences et l’importance de la redevabilité, fondée sur l’application des normes de gestion et des règles d’éthique et de déontologie.
Toutefois, les membres ont magnifié la contribution significative de 4 499 414 891 F Cfa pour financer des projets et programmes, et consolider les structures de Caritas Sénégal. AIDA DIENE
L’Afrique a accueilli 62 millions de touristes en 2017
https://www.financialafrik.co L’Afrique a accueilli 62 millions de touristes en 2017 selon le « Baromètre OMT du tourisme mondial » présenté ce 15 janvier. Un chiffre qui est en hausse de 8% comme en 2016 et au dessus de la moyenne mondiale estimée à 7%.
Le continent reste toutefois encore le petit poucet de la planète tourisme avec une représentation de 4,7% des 1,322 milliard de touristes ayant parcouru le monde l’année dernière. En interne, c’est l’Afrique du Nord qui a tiré le secteur sur le continent avec des arrivées en hausse de 13%, tandis que celles de l’Afrique subsaharienne n’ont augmenté que de 5%.
Au niveau international, avec une croissance de 7%, le secteur a enregistré sa plus belle année depuis 2010. Les arrivées de touristes internationaux en Europe ont atteint 671 millions en 2017, une progression remarquable de 8% après une année 2016 relativement plus terne. L’Asie-Pacifique (+6%) a accueilli en 2017 324 millions de touristes internationaux. Les Amériques (+3%) ont comptabilisé 207 millions d’arrivées de touristes internationaux en 2017. Et le Moyen-Orient (+5%) fait état de 58 millions d’arrivées de touristes internationaux en 2017.
« Ces résultats sont en partie attribuables à l’essor économique mondial et à une demande musclée du tourisme émetteur de nombreux marchés traditionnels et émergents » analyse Zurab Pololikashvili, le secrétaire général de l’OMT (organisation mondiale du tourisme).
Une belle année 2018 en perspective
Cet élan devrait se poursuivre en 2018 mais à un rythme oscillant entre 4% et 5% selon le rapport. L’Europe et les Amériques devraient avancer de 3,5%-4,5%, l’Asie-Pacifique de 5%-6%, l’Afrique de 5%-7% et le Moyen-Orient de 4%-6%.Jean-Mermoz Konandi


Compétitivité des énergies renouvelables : Vers une baisse importante des coûts
https://www.vivafrik.com Les énergies renouvelables toutes compétitives! Des énergies vertes (ou propres) moins coûteuses que les énergies fossiles, c’est bientôt possible ! Longtemps gros handicap au développement des énergies renouvelables, leurs coûts risquent de connaitre d’importantes baisses d’ici 2020.
Selon l’Agence internationale des énergies renouvelables (Irena) dans une nouvelle étude sur les coûts des énergies vertes, estime que : “Toutes les technologies renouvelables seront compétitives par rapport aux énergies fossiles en 2020”. Les coûts moyens des renouvelables devraient atteindre entre 30 et 100 dollars le mégawattheure (MWh) en fonction des technologies (éolien, solaire, géothermie, biomasse, etc.), quand les énergies fossiles affichent des coûts entre 50 et 170 dollars le MWh, note l’étude. Ils varient en fonction des pays, selon les gisements en énergie ou les réglementations.
La concurrence fait baisser les prix
Déjà l’an dernier, les coûts moyens des nouveaux projets de parcs d’éolien terrestre et de centrales solaires ont fluctué entre 60 et 100 dollars le MWh, avec plusieurs records en dessous de cette moyenne. Cela a été le cas aux Emirats arabes unis, au Chili, au Mexique et au Pérou dans le solaire. Dans l’éolien, des projets sont déjà régulièrement mis en service avec un coût de 40 dollars le MWh. Les baisses de coûts sont tirées par l’amélioration constante des technologies mais aussi une concurrence qui s’accentue avec de nombreuses entreprises qui développent des projets d’énergies renouvelables, remarque l’étude.
“Se tourner vers les renouvelables (…) n’est plus simplement une décision faite au nom de l’environnement mais, de plus en plus largement, une décision économique intelligente”, selon Adnan Z. Amin, directeur général de l’Irena, cité dans le communiqué. Les “meilleurs” projets éoliens terrestre et solaire pourraient ainsi produire une électricité à un coût de 30 dollars par MWh, voire moins dans les deux prochaines années. Et cette baisse des coûts s’observe aussi pour les autres énergies renouvelables, note l’Irena. L’an dernier, des projets dans la géothermie, la biomasse ou l’hydroélectricité se sont développés avec des coûts autour de 70 dollars le MWh.
Le solaire à concentration et l’éolien en mer font également des progrès et certains projets qui seront mis en service d’ici 2020 et 2022 coûteront entre 60 et 100 dollars le MWh, prévoit l’Irena. “Cette nouvelle dynamique témoigne d’un changement significatif de modèle énergétique”, selon M. Amin. Avec Sciences et Avenir Debbo Mballo


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